Les journalistes : identités et modernités

La mode française dans la presse mexicaine de la première moitié du XIXe siècle et la promotion de nouvelles formes de sociabilité

Table des matières

ESTHER PÉREZ SALAS C.

La presse mexicaine du XIXe siècle donna toujours une place de choix aux articles consacrés aux femmes. Une des sections qui attira notre attention fut précisément celle de la mode, qui permit aux éditeurs d’inclure dans leurs pages des figurines de mode et des chroniques. Dès 1826, le journal El Iris fut la première publication illustrée mise en circulation au Mexique et ne manqua jamais d’inclure des articles relatifs à la mode ainsi que d’insérer des figurines dans ses pages, ceci grâce à la lithographie. Le thème de la mode touchait aussi bien les hommes que les femmes et même les enfants. Toutefois, vu l’importante circulation de modèles illustrés destinés aux dames, nous nous occuperons surtout de la mode féminine.

Au-delà de la représentation des vêtements féminins, les figurines montraient les lieux et les occasions où les dames pouvaient faire montre de leurs habillements. L’analyse de ces images nous permet de reconnaître les endroits fréquentés par les femmes de la haute société. Dans ce contexte, l’irruption de la mode française au cœur de la presse mexicaine non seulement présentait une manière distincte de s’habiller, mais aussi d’autres coutumes destinées à socialiser. C’est sur cette image idéale de la femme moderne et lettrée, semblable aux figurines de mode des revues, que nous nous attarderons.

Comme durant la première moitié du XIXe siècle, il n’existait pas au Mexique de publications spécifiquement consacrées à la mode, c’est aux revues littéraires qu’échut le soin de la diffuser. Dès que les figurines furent insérées, le public féminin fut mis au courant des tendances dictées par les principales grandes villes européennes. Il est vrai que les revues de mode existaient depuis le XVIIIe siècle. Mais ce fut surtout durant les premières dix années du XIXe siècle que les publications destinées au grand public prirent un essor notoire.

Comme nous l’avons mentionné, le journal El Iris fut la première revue mexicaine qui présenta une section consacrée à la mode et, de même que dans les publications européennes, les illustrations étaient accompagnées de commentaires. Les lectrices avaient sous les yeux deux versions de la mode, la première visuelle et la seconde sous forme de commentaires placés sous les illustrations.

La reproduction de figurines dans les revues incita les femmes à analyser les images qui reflétaient la mode dans des tracés en noir et blanc, car la plupart des illustrations se reproduisaient au moyen d’un seul type d’encre. Dans le cas où les illustrations se faisaient en couleur, celles-ci étaient limitées à la palette assez pauvre des types d’encres graphiques.

Les figurines de mode étaient la représentation graphique du vêtement. Elles rendaient assez justement les coupes de la robe, les ornements étant agrandis et, lorsque l’illustration était en couleur, il était possible d’avoir un aperçu approximatif de la tonalité des tissus, mais cela ne permettait pas de deviner les textures des étoffes utilisées ni le tissage, encore moins les infimes détails des dentelles, des imprimés ou des broderies.

Les textes qui accompagnaient généralement les figurines ne décrivaient pas le vêtement en lui-même, mais plutôt la figurine. Par conséquent, la description du vêtement dans le texte se limitait à suggérer le type d’étoffes et les tonalités idéales qui aideraient à la confection du vêtement et laissait une bonne part à l’interprétation de la modiste. C’est ce que Roland Barthes appela le vêtement-image et le vêtement écrit1.

Au XIXe siècle, les dessinateurs de figurines reproduisaient dans leurs dessins les vêtements observés de façon réelle, car ceux-ci n’en étaient pas les créateurs, mais ils étaient responsables de créer un code visuel qui est encore employé de nos jours. Nous faisons référence ici à la façon de représenter par des lignes et des tracés les plis, les remplis, les plissés, etc. Ce fut précisément durant ce siècle que la mode parisienne fit fureur et se répandit dans tous les pays avancés ainsi que dans ceux qui voulaient faire partie de ce groupe de nations modernes, comme ce fut le cas du Mexique.

Il y a plus de cent ans que la France était déjà le phare de la mode. Au cours du XIXe siècle, les illustrations provenant du Petit courrier des dames, du Journal des dames ou du Moniteur de la mode devinrent les lectures favorites des dames de l’époque qui attendaient avec impatience la parution des revues littéraires à grand tirage au Mexique. C’est ainsi qu’à partir de 1837, année où commença de façon systématique l’édition de magazines littéraires illustrés, les imprimés inclurent dans leurs pages hebdomadaires des figurines de mode. El Mosaico mexicano, El Museo mexicano, El Liceo mexicano, et surtout les revues féminines telles que La Semana de las señoritas mejicanas, El Semanario de las señoritas mejicanas, el Panorama de las señoritas, La Camelia et bien d’autres journaux de ce genre, ne cessèrent d’offrir à leurs lectrices les dernières nouveautés de la mode française.

Pour ce faire, les éditeurs cherchaient à inclure dans leur revue des figurines qui provenaient directement de Paris ou bien venaient de publications espagnoles reproduisant la mode française. Les reproductions se faisaient à partir de gravures, mais de telles promesses n’étaient pas toujours tenues, car la distance entre l’Europe et l’Amérique Latine ainsi que les voies de communication précaires du Mexique retardaient la livraison des gravures. En conséquence, les éditeurs optèrent pour reproduire les illustrations sous forme de lithographies, système mécanique de reproduction de l’image employée au Mexique.

Avant d’entrer dans les styles de vêtements et leurs usages conseillés dans les revues mexicaines au début du siècle, il y a lieu de faire mention des lectrices auxquelles étaient destinés les articles de mode. De façon générale, il s’agissait de dames appartenant à la haute société et haute bourgeoisie qui recevaient à domicile les revues littéraires. La majorité de ces dames habitaient la ville de Mexico ainsi que d’autres villes importantes de la république mexicaine. Elles disposaient de ressources suffisantes pour se faire confectionner des robes et vêtements qu’elles porteraient dans des réunions sociales.

Tenant compte de leurs positions sociales aisées, leurs activités du matin se partageaient entre les services religieux et certaines occupations personnelles, comme rédiger des lettres, jouer du piano, faire des travaux de couture ou organiser les repas, ainsi que faire ou recevoir des visites. Les après-midis étaient consacrés aux promenades et autres visites ainsi qu’aux réunions et petites soirées entre amis. Les sorties au théâtre et aux bals dépendaient grandement de l’arrivée de compagnies étrangères qui fréquemment se présentaient au Mexique. Les dames assistaient également aux bals organisés par les familles de haute lignée, ce qui était l’occasion de porter leurs plus belles tenues de soirée.

Il est évident que le mode de vie des femmes mexicaines des classes aisées apportait une consommation suffisante des figurines de mode pour justifier la publication variée des illustrations. Le but primordial était de diffuser les dernières nouveautés qui régnaient afin que les dames mexicaines portent une toilette en accord avec le style de mode en vogue.

Les réunions sociales dans les demeures particulières, les visites et les soirées entre amis occupaient une place prépondérante dans la vie sociale. Un grand nombre de figurines mettait l’accent non seulement sur la mise de bon ton pour se rendre en visite, mais aussi pour recevoir à la maison. Sans aucun doute, cette situation signifiait un changement dans les coutumes des Mexicaines qui, durant les premières années de l’indépendance, n’avaient guère prêté beaucoup d’attention à leur habillement lorsqu’elles recevaient des visites, si l’on en croit les récits de plusieurs étrangers qui voyagèrent au Mexique durant cette période2.

La figurine qui apparaît en 1851 dans la revue La Semana de las señoritas mejicanas3 illustre une robe portée autant par les jeunes filles qui se rendent en visite chez des amies que par celles qui reçoivent chez elles, rivalisant d’élégance et de belle allure. De cette façon, la parure vestimentaire fit que les dames acquirent une silhouette plus cosmopolite, qui était si recherchée par les femmes de la haute société mexicaine. (Voir Illustration 1)

1. « Últimas modas de París », La Semana de las señoritas mejicanas, 1851, tomo II, p. 199-200. Biblioteca “Ernesto de la Torre Villar” del Instituto Mora.

Une des descriptions qui revenaient souvent dans les récits des voyageurs souligne l’influence espagnole qui persistait encore dans l’habillement des femmes durant les années quarante, faisant usage de la mantille retenue par un grand peigne d’écaille et des robes de couleurs sombres. Ces vêtements se portaient surtout pour assister aux offices religieux du matin, mais au cours des promenades du soir dans les principales avenues et jardins de la capitale, les femmes se paraient de robes aux vives couleurs. (Voir Illustration 2)

2. « La mantilla », Carl Nebel, Viaje pintoresco y arqueológico sobre la parte más interesante de la República Mexicana, París y México, [Imp. de P. Renouard], 1839. Tomado de Edición facsimilar de Porrúa, de 1963.

Ce contraste dans la façon de se vêtir n’était pas seulement de règle pendant la période de transition entre l’ancien régime et la nouvelle situation du pays devenu indépendant. Les femmes montraient une certaine prudence à ne pas exhiber ouvertement leur adhésion aux exigences de la mode française, malgré le fait que plusieurs textes, qui commentaient les figurines, étaient tenus de véhiculer des idées libérales et modernes, ce qui n’était pas bien reçu par tous, et en particulier par le groupe conservateur.

Comme nous l’avons signalé plus tôt, en plus des illustrations, les commentaires, c'est-à-dire le vêtement écrit, jouaient un rôle décisif pour servir d’instructions et de directives dans la confection des vêtements, tout en vantant les bienfaits d’adopter les nouveautés de la mode. Toutefois, le texte conseillait de conserver une apparence à mi-chemin entre la tradition espagnole préconisant le port de vêtements discrets, de tons neutres et les excès de l’opulence parisienne. La société mexicaine souhaitait que la façon de s’habiller fût en accord avec le processus de transition que traversait le pays, c'est-à-dire des valeurs traditionnelles penchant vers la modernité.

En dépit des implications politiques qui seraient rattachées aux figurines de mode française reproduites dans les revues littéraires de grande circulation au Mexique, les préceptes de la mode française furent suivis au pied de la lettre. Les bals, les spectacles d’opéra et les représentations théâtrales furent l’occasion pour les dames de montrer leurs toilettes, qui rompaient avec la monotonie dont avait parlé Mathieu de Fossey en 1844, dans son commentaire concernant l’habillement des dames qui assistaient au théâtre4.

Les styles des figurines de mode mettaient l’accent sur les lieux où les nouvelles tendances de la mode pouvaient se distinguer et se faire admirer parmi l’assistance. Dans certains textes, ces conseils étaient suggérés avec subtilité, et pouvaient à peine être remarqués en regardant les illustrations, dans la mesure où les ébauches des mannequins étaient placées dans des endroits que le dessinateur évoquait à peine, qui allaient de grands jardins où bien souvent les dames étaient invitées à se promener à des intérieurs luxueux qui laissaient deviner une salle de bal, des loges ou les vastes vestibules des théâtres. (Voir Illustration 3)

3. « Cajón de La última moda de París », La Camelia, 1853, p. 367-368. Biblioteca « Ernesto de la Torre Villar » del Instituto Mora.

En d’autres occasions, la description du vêtement reproduite sur la page ne laissait pas de doute sur l’usage qu’il fallait lui donner. Des titres indiquant « Costume de visite », « Robe de promenade », « Tenue de ville », « Robe de jour », « Tenue de soir » ou « Toilette de bal » faisaient directement référence aux endroits publics de sociabilité où les vêtements devaient être portés, mais indiquaient aussi les occasions où une dame de la haute société devait se rendre et dans ce cas, elle devait y aller magnifiquement vêtue. Les loisirs qui étaient propres aux pays évolués étaient considérés de bon ton, ce qui fit que, peu à peu, les distractions locales furent abandonnées, par exemple les corridas de taureaux, les combats de coqs ou les foires locales5. (Voir Illustration 4)

4. « Máscara », Semanario de las Señoritas Mejicanas, 1842, tomo III, p. 304-305. Biblioteca « Ernesto de la Torre Villar » del Instituto Mora.

Les mentions d’endroits de sociabilité auxquels les dames mexicaines devaient se rendre pour montrer les dernières nouveautés de la mode se trouvaient dans les chroniques qui accompagnaient les figurines. Ces textes qui fournissaient d’amples informations sur les étoffes, les finitions, la gamme de couleurs et les probables adaptations au climat du Mexique, proposaient également des lieux situés dans le pays qui pourraient rivaliser avec les lieux parisiens. C’est ainsi qu’on invitait les dames « à porter leurs toilettes pour une promenade sur El Paseo, à Tacubaya », ce qui correspondrait à Versailles ou à Longchamp pour la ville de Mexico6.

On remarque que dans la plupart des cas, les figurines se référaient aux activités et endroits qui recevaient l’approbation de la société où se tenaient les réunions qui rassemblaient les classes aisées du pays. L’idéal était donc de suivre la mode française avec le plus de précision possible. Cependant, certaines chroniques conseillaient d’éviter les excès des mannequins parisiens, car une dame mexicaine devait toujours se distinguer par un comportement mesuré et discret, non seulement par son attitude, mais aussi dans sa toilette7. En d’autres termes, il fallait faire une adaptation de la mode française pour qu’elle soit en accord avec les bons préceptes du Mexique.

Pourtant tous les modèles d’habillement dessinés sur les figurines de mode n’étaient pas toujours rattachés aux endroits de sociabilité permis et acceptés par les bonnes coutumes. Il y eut des modèles de vêtements qui se référaient directement aux réunions où il était permis de faire des transgressions dans l’habillement. Nous faisons allusion aux bals organisés pendant le carnaval où les hommes aussi bien que les femmes donnaient libre cours à leur imagination et portaient des costumes extravagants. Il s’agissait alors de trois jours d’amusements, de farces et de déguisements qui fournissaient l’occasion de se retrouver avec l’être aimé, de conquérir de belles dames ou tout simplement de s’amuser sans être reconnu.

Pendant les semaines qui précédaient la célébration du carnaval, les revues littéraires présentaient un vaste catalogue de figurines ainsi que des articles divers qui expliquaient l’origine des fêtes, la manière dont ces fêtes se célébraient dans certains pays et publiaient aussi des contes brefs et des récits humoristiques liés aux célébrations carême-prenant durant le carnaval. En conséquence, les illustrations qui accompagnaient les textes présentaient un défilé de villageois, de sénateurs romains, de maures, de guerriers, de chevaliers du Moyen Âge et toute une collection de personnages qui étaient censés servir d’inspiration pour la confection du déguisement qui serait porté lors du bal de la saison. Si grand était le désir d’offrir aux lectrices des conseils et suggestions que souvent les éditeurs augmentaient le nombre d’illustrations de l’exemplaire afin de satisfaire à la demande des lectrices.

En plus des déguisements inspirés de l’histoire ou de thèmes littéraires, ce qui était chose courante, le journal suggérait d’autres costumes qui donnaient l’occasion de transgresser les normes établies, comme ceux inspirés de vêtements masculins, ce qui fit beaucoup de bruit en France et au Mexique8. Un de ces costumes fut une adaptation d’un uniforme de soldat de l’époque de Louis XV où la culotte courte devint une ample jupe, la casaque s’ajusta à la taille à la manière d’un corselet et le tricorne se transforma en un chapeau très coquet. Pour souligner davantage le caractère militaire, les bottes furent remplacées par de longues guêtres, mais la canne et le sabre furent conservés.

En dépit du fait que les modifications apportées au costume avaient un aspect féminin, la jeune fille ne pouvait pas s’habiller comme un homme, ce qui transgressait les règles établies en ce qui concernait la longueur de la jupe, détail de rigueur au XIXe siècle. Cependant, il était permis lors de ces célébrations de rompre certaines normes.

On peut constater que les figurines et les chroniques de mode qui apparurent dans les revues littéraires mexicaines introduisirent les dames appartenant aux classes sociales aisées à toute une gamme d’activités et d’endroits où elles pouvaient se socialiser en accord avec les temps nouveaux. Les illustrations et les descriptions littéraires mettaient en relief la fonction sociale de la mode. Les journaux faisaient allusion aux situations où la femme occupait l’avant-scène, que ce soit au théâtre, au bal ou durant les promenades. Ces activités expriment de façon implicite un aspect de séduction car ce sont ses toilettes qui font ressortir sa beauté et qui seront un objet d’admiration au cœur de la société ; « La femme doit profiter de sa nouvelle toilette en société, parce que le fait d’être à la mode, comme tout autre signe, sert à la communication9 ».

Ce désir de sociabilité fut possible grâce à la mondialisation des moyens de communication utilisés au XIXe siècle à partir desquels la sensibilité française devint évidente au Mexique. Les textes et illustrations purent transmettre une certaine forme de sensibilité qui changea les modes de sociabilité entre l’époque de la Vice-royauté et la période de l’indépendance. Le désir de socialiser devint une pratique sociale qui conduisit le pays à la modernité. Comme l’ont dit plusieurs théoriciens de la mode, « il n’y a pas de mode sans modernité10 ».

(Institut Mora, Mexique)

Notes

1  Roland Barthes, El sistema de la moda y otros escritos, Barcelona, Paidós, 2003, p. 31.

2  Charles Joseph Latrobe, The rambler in Mexico : 1834, Londres, R.B. Seeley and Burnside, 1836, p. 150. Madame Calderón de la Barca, La vida en México durante una residencia de dos años en ese país, Trad. y Prol. de Felipe Teixidor,México, Editorial Porrúa, S. A., 1974, p. 73.

3  « Últimas modas de París », La Semana de las señoritas mejicanas, 1851, t. II, p. 199-200.

4  Le Mexique, Paris, Henri Plon éditeur, 1857, p. 245.

5  Enrique Covarrubias, Visión extranjera de México, 1840-1867, « 1. El estudio de las costumbres y de la situación social », México, UNAM, Instituto Mora, 1998, p. 38.

6  « Últimas modas de París », La Semana de las señoritas mejicanas, México, 1851, t. II, p. 200.

7  Cecilia Rodríguez Lenmann, « La política en el guardarropa. Las crónicas de moda de Francisco Zarco y el Proyecto Liberal », Revista Iberoamericana, Vol. LXXXIV, no 222, 2008, p. 7

8  I. G. (Isidro Gondra), « El Carnaval en Francia », Semanario de las Señoritas Mejicanas, México, 1842, t. III, p. 308.

9  Pablo Pena, « Análisis semiológico de la revista de modas romántica », Estudios sobre el mensaje periodístico, 2001, no 7, p. 378.

10  Voir Gilles Lipovetsky, El imperio de lo efímero. La moda y su destino en las sociedades modernas, Barcelona, Anagrama, 1990 et Philippe Perrot, Fashioning the Bourgoisie, Princeton, Princeton University Press, 1994.

Pour citer ce document

Esther Pérez Salas C., « La mode française dans la presse mexicaine de la première moitié du XIXe siècle et la promotion de nouvelles formes de sociabilité », Les journalistes : identités et modernités, actes du premier congrès Médias 19 (Paris, 8-12 juin 2015). Sous la direction de Guillaume Pinson et Marie-Ève Thérenty Médias 19 [En ligne], Mise à jour le : , URL: https://www.medias19.org/publications/les-journalistes-identites-et-modernites/la-mode-francaise-dans-la-presse-mexicaine-de-la-premiere-moitie-du-xixe-siecle-et-la-promotion-de-nouvelles-formes-de-sociabilite